Les partis et mouvements politiques dont les listes ont été rejetées par le Conseil constitutionnel ne décolèrent pas. C’est le cas des Acteurs du Civisme et de la Citoyenneté pour l’Émergence du Sénégal (ACCES). A travers la voix de son président, Mouhamadou Fadel...
Articles Similaires
LIGUE 1 PRO – 1ère Journée : Une reprise intense sur toutes les pelouses
La saison 2025-2026 de Ligue 1 Pro a démarré ce week-end avec huit matchs disputés et déjà beaucoup d’enseignements. Intensité, surprises, confirmations : le football sénégalais a offert un retour en force. Teungueth FC – US Gorée (0-0) Samba Mbollo...
COMMUNIQUÉ DU COLLECTIF DES 31 AGENTS DE LA SONAGED
Le collectif des 31 agents de la Société Nationale de Gestion des Déchets (SONAGED), restés 14 mois sans salaire, informe l’opinion publique nationale et internationale de sa décision de sursoir son sit-in prévu ce vendredi 12 septembre 2025 devant les locaux de la...
Dans le cadre du déroulement du plan d’action de l’inspection d’académie de Pikine- Guédiawaye sur les violences basé sur le genre, le Cem Keur Massar 2 a reçu le panel de mobilisation contre les violences et grossesses en milieu scolaire.
Maimouna Sissoko Khouma ; chef du bureau partenariat communication de l’IA explique le choix du Cem Keur Massar 2 pour abriter ce panel par le fait que cet établissement a registré 13 cas de grossesses en milieu scolaire. Selon elle il faut beaucoup sensibiliser les élèves, les parents d’élèves ainsi que tous les acteurs de l’éducation afin qu’ils participent à la lutte contre les violences à l’école sur toutes ces formes. Mais aussi pour lutter contre les grossesses qui constituent un frein pour l’éducation des filles.
Ce pendant Mme Khouma précise qu’ils ont de réels problèmes de statistiques dans la banlieue pour savoir ou exactement mettre l’accent dans leur sensibilisation ».
Mme Diouma Diouf Ndiaye, elle, a mis l’accent sur les perturbations socioculturelles que peuvent causer les violences dans le milieu scolaire, surtout venant des enseignants. Ce pendant la coordonnatrice nationale de la sante de reproduction au ministère de la sante n’a pas manqué de pointé du doigt les filles qui, à cause de leurs habillement sexy, ont aussi une grande part de responsabilité dans ce phénomène.
MAME SOKHNA BADJI
Suivez-nous sur



