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En classe de Terminale audit lycée, un élève confie dans Dakar Times qu’il «fume du chanvre indien». «Cela fait maintenant deux ans, dans cet établissement, précise-t-il. La drogue est la meilleure chose qu’il puisse avoir dans sa vie. Même s’il je n’ai rien à manger, ce n’est pas grave. La drogue ouvre mon esprit et me permet d’avoir un degré de compréhension élevé.»
Élève en terminale S2, Réhanne Ndiaye, 18 ans, acquiesce, mais condamne : «Il y a des gens qui se regroupent tout le temps dans des lieux abandonnés («Village», «Jamaïque» et «Ponty») avec des élèves. Ils fument tout le temps du chanvre indien». Au point que leur établissement est «transformé en un réseau de trafic et de consommation de chanvre».
«Le pire, accuse-t-elle, ce n’est pas seulement du chanvre mais il y a aussi de l’alcool et toutes sortes d’excitants qui peuvent nuire la santé de l’homme. Ils le font ici. Et, la moitié de ceux qui le font, sont des élèves du lycée.»
Le proviseur de Limamou Laye minimise et signale que son lycée n’est pas le seul touché par le mal.
dakarbuzz
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