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Le carême est une période de jeûne de quarante jours (pour certaines religions et coutumes, c’est cinquante jours) que le christianisme a institué en référence aux quarante jours de jeûne effectués par Jésus-Christ dans le désert (Wikipédia). Cette période de purification des cœurs, de changements des habitudes, de jeûne au niveau de l’œil comme au niveau des pulsions, est venue à son terme pour cette année. A Keur Massar, les fidèles Chrétiens ont parachevé leur jeûne en respectant la tradition.
Dans la matinée ce fut la préparation du traditionnel « ngalakh », et durant l’après-midi les chrétiens se sont donnés rendez-vous à l’église pour la messe du vendredi saint.
Adeline DIONE, habitante à Keur Massar Cité Enseignant nous a confié que « le temps du carême a été très dure, il fallait faire beaucoup d’efforts, mais quand même ca a en valait la peine.» Une chose qu’elle nous a fait remarquer que pour jeûner « il faut avoir un cœur pur et léger afin que les belles intentions puissent vous habiter.» Apres ce rituel de préparation auquel il faut prêter attention, on en vient au traditionnel « ngalakh ». Est-ce un dictat de la religion chrétienne, ou serait-ce un effet de civilisation ? Selon notre petite dame et pour Fabrice Bertrand BIAGUI,en ce jour » on prépare le « ngalakh » pour le partager avec nos frères chrétiens et musulmans pour commémorer la mort du Christ, nous partageons tout ca en famille. » Le ngalakh n’est édicté nullement par la religion, mais c’est plutôt un effet de civilisation, devenu une tradition. Malgré la conjoncture, tout devenu cher, mais bon la tradition a été respecté et célébrée comme il se doit.
A l’occasion de ce vendredi saint, une véritable communion entre musulmans et chrétiens pour raffermir leurs liens cardinaux, à Keur Massar on a pas failli à la tradition.
Moustapha KORERA, Abou BA, Moussa DIOUF keurmassar.info
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