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Le Nouvel Élan Libéral (NEL) franchit une étape importante dans son développement avec l’installation de sa première cellule de base, officiellement lancée ce samedi par son président, Moussa Diakhate, dans sa commune Dakar Plateau.
Le Nouvel Élan Libéral (NEL) franchit une étape importante dans son développement avec l’installation de sa première cellule de base, officiellement lancée ce samedi par son président, Moussa Diakhate, dans sa commune Dakar Plateau.
Cet acte symbolique, porté par son épouse Madeleine Diallo Diakhate, fondatrice du GIE « Jigeen Takku Liggey and ak Honorable Moussa Diakhate », marque le début d’une nouvelle stratégie de massification. Le GIE regroupe aujourd’hui plus de 5 000 femmes engagées à travers le pays, preuve de l’adhésion croissante aux idéaux du NEL.
La cérémonie a rassemblé des représentants venus des quatre coins du Sénégal – Thiès, Mboro, Sédhiou, Ziguinchor, Dakar – ainsi que de la diaspora. Plusieurs figures de la société civile ont pris part à cette rencontre , dont M. Thiam, président de l’Association des artisans du Sénégal, qui a annoncé son affiliation au mouvement.
Dans son discours, Moussa Diakhate a réaffirmé les ambitions du NEL : instaurer une politique fondée sur les valeurs, la compétence et l’unité. « Le NEL n’est pas un instrument de promotion personnelle. C’est un projet collectif pour un Sénégal meilleur », a-t-il insisté. Il a également rappelé que les futurs cadres du mouvement devront prouver leur légitimité par leurs compétences techniques et leur rigueur.
Appelant à une nouvelle approche « sans arrogance, sans insultes », Diakhate a souligné que le Sénégal ne pourra atteindre un véritable développement sans unité nationale. « Nous voulons bâtir un Sénégal juste, uni et progressiste. Cela commence à la base, dans nos quartiers, avec une vision claire et partagée. »
Avec une présence déjà affirmée dans les 46 départements et une structuration en cours dans la diaspora, le NEL entend s’imposer comme une force politique majeure dans les mois à venir.
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