Les partis et mouvements politiques dont les listes ont été rejetées par le Conseil constitutionnel ne décolèrent pas. C’est le cas des Acteurs du Civisme et de la Citoyenneté pour l’Émergence du Sénégal (ACCES). A travers la voix de son président, Mouhamadou Fadel...
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La banlieue de Dakar souffre de plus en plus d’insécurité, avant-hier c’est au tour de la banlieue de Keur massar ou un vigile a été agressé par des malfaiteurs qui mènent la vie dure à ces familles.
En effet, jeunes femmes, hommes et enfants sont sortie en masse avec des brassards rouges pour s’indigner de la terreur qu’ils vivent au quotidien. « Nous avons peur de sortir même le jour, à cause des agresseurs. Ici il n’y a pas de sécurité », déplore une habitante de la localité. Les bandits ne se limitent pas seulement à des agressions mais ils volent aussi et ont des armes blanches nous renseignent Mamadou DIENG : « Dès 17 heures, les agresseurs sortent avec leur coupe-coupe pour semer la terreur jusqu’à deux heures du matin. Parfois nos moutons sont volés ». Ce quartier de la banlieue ne dispose d’aucunes infrastructures : ni de poste de santé, ni de routes praticables ou plus de poste de police. Ces populations lancent un appel aux autorités étatiques et communales pour qu’ils leur construisent un poste de police ou de gendarmerie. Elle menace d’appliquer la loi islamique : « si les autorités ne font rien face à ses agresseurs, nous serons obligés de sévir pour protéger nos parents. Certes nous sommes dans un pays de droit, mais nous ne pouvons plus rester inactifs face aux agresseurs dont sont victimes nos parents. Car trop c’est trop », renchérit Cheikh fall DIOP.
Tarsange
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