Les partis et mouvements politiques dont les listes ont été rejetées par le Conseil constitutionnel ne décolèrent pas. C’est le cas des Acteurs du Civisme et de la Citoyenneté pour l’Émergence du Sénégal (ACCES). A travers la voix de son président, Mouhamadou Fadel...
Articles Similaires
LIGUE 1 PRO – 1ère Journée : Une reprise intense sur toutes les pelouses
La saison 2025-2026 de Ligue 1 Pro a démarré ce week-end avec huit matchs disputés et déjà beaucoup d’enseignements. Intensité, surprises, confirmations : le football sénégalais a offert un retour en force. Teungueth FC – US Gorée (0-0) Samba Mbollo...
Keur Massar : une salle de spectacle rénovée et un centre culturel ambitieux pour dynamiser la commune
Le Conseil Départemental de Keur Massar inaugure une salle de spectacle modernisée et dévoile le projet CLAC, un centre culturel phare qui vise à enrichir l’offre artistique et éducative de la région. Le Conseil Départemental de Keur Massar, sous la direction de son...

La sentence est tombée. Le lutteur Lac de Guiers 2, après ses attaques contre le Comité National de Gestion de la lutte (Cng) suite à sa défaite du dimanche 28 janvier 2018 face à Modou Lô au stade Léopold Sédar Senghor, a été suspendu un an ferme. Il ne renouera son nguimb qu’au mois de mars 2019.
« Lamb j dafa salté (l’arène est sale). Je n’ai pas lutté contre Modou Lô mais contre le gouvernement. Les autorités y compris. Le combat, c’était tous contre Lac 2. J’étais comme un Congolais qui affrontait un Sénégalais. Que les gens nous considèrent tous comme des Sénégalais. Du jamais vu, ils ont pris mes 7 millions FCFA. Un argent qui j’ai gagné à la sueur de mon front. Je ne leur pardonnerai jamais. Je dis bien jamais. J’ai tout compris. Je suis un sportif. Et je ne suis pas contre tous les gens qui supportaient mon adversaire. Mais que ceux qui sont responsables de l’événement ne le manifestent pas. J’ai vu des gens manifester qu’ils sont de l’autre camp. Ils pouvaient le cacher au moins. Je n’en veux à personne cependant, encore une fois », crachait le chef de l’écurie Walo au lendemain de sa défaite face à Modou Lô. Et voilà ! Ce sont déclarations qui ont valu la sanction d’un an ferme au lutteur.
Selon le quotidien Sunu Samb parcouru par Senego, Lac 2 a été entendu le samedi 3 mars 2018 dans la matinée, avant son dernier face-à-face avec Modou Lô à la place du Souvenir. Après avoir été savonné par l’instance dirigeante de la lutte, Lac 2, qui était en compagnie de son manager Mouhamed Ali et d’un représentant du président de l’écurie, s’était bien excusé.
Suivez-nous sur



