Les partis et mouvements politiques dont les listes ont été rejetées par le Conseil constitutionnel ne décolèrent pas. C’est le cas des Acteurs du Civisme et de la Citoyenneté pour l’Émergence du Sénégal (ACCES). A travers la voix de son président, Mouhamadou Fadel...
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Dans le cadre du programme « Thé débats décentralisés » de l’UJTL Keur Massar, Doudou Wade membre du comité directeur du Parti Démocratique Sénégalais, est revenu sur le débat concernant le référendum. Il déclare qu’il s’est prononcer sur une radio américaine pendant deux heures de temps, lorsqu’on lui a posé une question concernant le referendum il a répondu que « je ne vais pas en parler, car le chef de parti ne m’a pas donné l’autorisation de le faire ».
Continuant sur cette lancée il ajoute : « j’ai écrit un article sur le referendum, je ne sais pas qui m’a répondu mais j’ai vu dans le journal l’Observateur que c’est un éminent juriste collaborateur du Président de la République qui m’a répondu en disant « doudou Wade a raison nous avons commis une faute mais ça ne change a rien ». Mais dès l’instant qu’il y a faute, ça change quelque chose », déclare l’ancien président de l’assemblé national.
Le député libérale s’est par ailleurs prononcé sur la déclaration du groupe de travail de l’ONU en affirmant que : « lorsque la première décision est sortie les sénégalais disaient que c’est un simple groupe de travail, je vous rappelle la déclaration de Yerim Thiam qui disait « nous allons au groupe de travail de l’ONU pour vous montrer que le Sénégal n’est pas un pays de bandits mais un pays de droit », mais malheureusement pour eux le groupe a maintenu sa décision concernant la détention arbitraire sur l’affaire Karim Wade, si le Sénégal est un pays de droit l’Etat doit respecter les décisions internationales au cas contraire nous allons lutter pour le respect de nos droits ».
L’ancien président du groupe parlementaire du PDS déclare que le Sénégal se trouve dans une situation délicate : « nous avons vu que la cours suprême avait pris une décision défavorable au ministre de l’éducation nationale mais Le Président de la République a soutenu ce dernier en disant que la Cour avait tort. L’Etat nous prouve que la Cour Suprême et le Conseil Constitutionnel n’ont plus leur raison d’être, dans ce cas chacun règle ses comptes comme bon lui semble.
Mame Sokhna Badji
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