Les partis et mouvements politiques dont les listes ont été rejetées par le Conseil constitutionnel ne décolèrent pas. C’est le cas des Acteurs du Civisme et de la Citoyenneté pour l’Émergence du Sénégal (ACCES). A travers la voix de son président, Mouhamadou Fadel...
Articles Similaires
SPECIAL OLYMPICS SENEGAL – De Dakar à Turin : huit jeunes, deux médailles, un pays fier
C’est une page historique qui s’est écrite à Turin pour la danse sportive sénégalaise. À l’occasion d’un atelier de restitution organisé par Special Olympics Senegal, les acteurs clés de cette aventure extraordinaire sont revenus sur une première participation...
Keur Massar : Deux étrangers interpellés avec 5 millions de faux dollars en billets noirs
La Sûreté Urbaine du Commissariat Central de Dakar a mené une opération réussie ce 5 mai 2025 à Keur Massar, ayant abouti à l’interpellation de deux ressortissants étrangers en possession de 50 000 billets noirs de 100 dollars, soit l’équivalent de 5 millions de...
Ce n’est plus choquant de voir des élèves remplir les rues de la commune sous prétexte que leurs professeurs sont en grève. Cette fois ci ce sont les collégiens du CEM KEUR MASSAR qui ont réédité l’exploit des enseignants. Ces potaches craignent pour leurs études, car il semble que les risques d’une année blanche se profilent à l’horizon. Au moment où le public est fortement englouti encore dans les mouvements d’humeurs, les écolesprivées ont presque terminé leurs programmes, et sont quelque peu fin prêtes pour les examens. C’est ce fait qui met en horreur, réveillent des sursauts de survie et d’autodéfenses chez les élèves du public sous la houlette du CEM KEUR MASSAR .
C’est la principale raison pour laquelle ces élèves du public font catégoriquement arrêter les cours chez les privées. Ils crient sur tous les toits haut et fort que si l’année est blanche, alors elle le sera pour tous, et non pas uniquement pour eux. Malheureusement, leur revendication qu’ils martèlent urbi et orbi « nous voulons étudier » semble tomber dans l’oreille d’un sourd. C’est pourquoi les potaches prennent les devants en aller extirper tous les jours les élèves des différentes écoles privées de la commune hors de leurs classes.
Quoi de plus embarrassant pour un pays que d’avoir une jeunesse très mal formée, a court d’idées et d’imaginations, qui par la suite va devenir un faisceau de dirigeants médiocres. La situation de l’éducation est très alarmante dans la commune. Il vaudrait mieux que les syndicats accordent leur violon au grand bonheur de ces potaches futurs leaders de notre chère commune et de notre Sénégal, parce que tant va la cruche à l’eau qu’à la fin elle se brise. Les autorités doivent évincer ces risques inutiles, faute de quoi les conséquences seront gravissimes.
Moustapha KORERA, keurmassar.info
[email protected]
Suivez-nous sur